Profils
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Schlumberger Clovis28 ans
Pendant mon cycle de 5 ans à l’école des aux Beaux Arts de Paris, je suis particulièrement intéressé par la sémiologie, les codes visuels, et la manière dont ils s’établissent. Inspiré par la Renaissance, j’ai d’abord expérimenté pour voir comment la géométrie de la composition d’une image peut influencer la perception du contenu. J’ai aussi créé un alphabet basé sur des postures physiques (performance durant la “Nuit Blanche” de Paris en 2018 ). Ma dernière installation a comme thème d’exploration artistique le langage visuel des Mèmes d’internet.
JANISSET Jean-Baptiste 32 ans
| Artiste Plasticien diplômé de l’école des Beaux-Arts de Nantes Né le 23 juillet 1990 |
Aranthell35 ans
Aranthell est née en 1987 à Paris, elle vit et travaille entre la capitale et la Seine-Saint-Denis. Elle sort diplômée de la Sorbonne en 2010 d’un double cursus Arts Plastiques / Esthétique, suite à l’obtention de son baccalauréat en Arts Appliqués. Après un court passage par l’édition de bande dessinée comme coloriste et co-auteur sur des ouvrages parus chez Casterman et Futuropolis, elle choisit dès 2011 de se consacrer pleinement à son travail de plasticienne. La Micro Galerie monte sa première exposition personnelle en 2014 à Paris, ses œuvres ont notamment été présentées dans l’église saint Raymond d’Audierne, au CAC de Meymac, en foires d’art contemporain ou encore au CAC Pompidou de Cajarc et au Ministère de la Culture dans le cadre de résidences de création. Il lui arrive également d’approcher l’espace scénique pour un travail mêlant mise en scène et scénographie avec la Cie Dodeka et le CDN de Caen. Si la peinture à l’huile est son médium principal, la photographie et le volume font partie intégrante de sa création. Le cadrage est au cœur de la conception de chacune de ses pièces, excluant toute pratique de composition. Aranthell use en effet de la figuration comme d’un outil, au-delà de la notion de sujet qu’elle induit. Elle pense l’image comme un constat, qu’elle décadre, isole, classe et collectionne. Elle opère un découpage, des prélèvements dans le bruit ambiant, qu’elle consigne ainsi sous forme de séries en expansion, chacune orchestrée par ses propres règles et dont la multiplicité de connexions décuple le sens de leurs récits. De notre société, de nos intimités, de nos besoins et distractions, elle créé des échantillons qui, reliés les uns aux autres, nous racontent
Conrad Joëlle36 ans
Après avoir obtenu une licence d’arts plastiques et un master 1 d’arts appliqués, j’ai étudié pendant 3 ans le stylisme et le modélisme. J’ai ensuite été styliste pendant 6 ans et je me suis formée à la broderie en parallèle. Cela fait maintenant 11 ans que je brode et 7 ans que j’enseigne la broderie. Je souhaiterais renouer avec les arts plastiques ou arts appliqués en ajoutant une dimension picturale et ou une démarche artistique mêlant la broderie. La broderie pourrait être traitée soit sur du textile soit sur toile soit même sur du plexiglas. J’aime travailler différents matériaux (cuir, bois, liège,plexiglas). Je vous joins des photos de créations passées, mais je suis ouverte à d’autres univers et j’ai hâte de trouver mon binôme !
Virginie Boutin42 ans
Virginie Boutin (née le 1er janvier 1980 (42 ans) à Paris) est une photographe et écrivain française se rattachant au courant de la photographie plasticienne. De 2000 à 2006, Virginie Boutin suit des études à l’université Paris Sorbonne-Paris IV, dans le cadre du Master 2 Arts à la faculté des Lettres et Sciences humaines. Virginie Boutin se définit elle-même comme une « artiste-essayiste » dont la pensée est l’objet de réflexion. À l’occasion de résidences d’artistes, elle mène des recherches plastiques et réalise des mises en scène photographiques, s’attachant à photographier sans sujet. Dans son œuvre, elle essaye de représenter la pensée, afin de la rendre sensible. Elle définit ainsi sa démarche : « Mon travail ne consiste pas à représenter le réel mais à représenter la pensée au sein du réel. » Elle crée, à partir de matériaux hétéroclites les plus improbables, des images qui sont des concepts sensibles cherchant à donner à voir le processus réflexif. L’image met en forme et traduit l’abstraction des idées. Ses recherches esthétiques sont indissociables de l’écriture. En 2008, elle publie dans la collection « Ouverture philosophique » aux Éditions L’Harmattan un essai intitulé Petite scénologie de la pensée : Expérience sur l’idiopathie humaine, dans lequel elle essaye de mettre en scène la pensée comme art de rendre le monde pensable. Elle collabore par ailleurs à plusieurs revues universitaires, notamment la revue Plastir, dans laquelle elle publie en 2014 sous le titre Pensoir de poche, fragments d’une pensée à l’œuvre1, la première partie de ses notes de travail, qu’elle définit comme un « manifeste pour un art de penser. »
Marie Lepine Pothon45 ans
Artiste née en 1976, diplômée des Beaux-Arts de Saint-Etienne en 2001.
Florence Pinel53 ans
Artiste depuis 1992, j’expose régulièrement dans des salons, des marchés des arts, etc…
Régnier54 ans
Janisset Cyrille66 ans
Auteur réalisateur et artiste peintre autodidacte, la nature a toujours été ma source d’inspiration principale. La lumière immanente m’a souvent révélé des sensations remarquables pour traduire tel ou tel paysage réalisé sur le motif ou d’après mes propres photographies; parfois des souvenirs visuels constituent l’édifice de mes thèmes figuratifs. Je pratique diverses techniques picturales notamment le pastel sec et la peinture à l’huile, il m’arrive d’utiliser plusieurs médiums pour l’exécution d’un tableau, méthode dite « technique mixte » exemple: pastel, aquarelle et fusain…. Le crayon est aussi un outil primordial pour la réalisation de croquis et d’ésquisses préparatoires au travail de mes peintures. Je me considère comme un amant de la peinture, aussi je déteste l’appellation « amateur ou professionnel » pour classifier » l’artiste peintre « .
Dominique Albertelli67 ans
« Dominique Albertelli est née en France. Dès son enfance, elle voyage beaucoup notamment dans l’Océan Indien et plus tard en Amérique du Sud et en Amazonie. Elle suit un cursus universitaire d’Ethnologie. Elle a vécu plusieurs années avec deux tribus amérindiennes sur le feuve Oyapok. De retour à Paris, elle suit les cours de l’Ecole Boulle de 1986 à 1990. Actuellement, elle vit et travaille à Paris. En plus de sa pratique, Dominique Albertelli est une personnalité qualifée pour siéger dans les différents comités artistiques d’Ile de France. Elle est membre du CAAP ainsi que membre et amie de la FRAAP. Elle est également illustratrice pour le quotidien Italien Corriere Della Serra. Dominique Albertelli travaille principalement la peinture monumentale et le dessin dans une nouvelle figuration tendue et épurée, plutôt énigmatique. Ses nombreux voyages ainsi qu’un séjour de plusieurs années en immersion totale dans les tribus amérindiennes d’Amazonie ont indéniablement marqué sa pratique artistique. En tant que plasticienne elle interroge l’humain dans toute sa complexité. Son travail passe entre autre par une introspection critique ainsi que par une analyse des relations humaines. Tout en s’échappant des représentations traditionnelles, celui-ci concilie des positions apparemment contradictoires. La représentation apparait et disparait sur des fonds monochromes. Des formes abstraites, organiques, flottent dans l’espace et semblent interagir avec celle-ci. Elles instaurent un questionnement critique dans l’esprit du spectateur et évoquent des champs de pensées inconscientes. Dominique Albertelli s’appuie sur ses couleurs pour renforcer l’impact de ses pensées. Son travail se présente comme une galerie de portraits d’anonymes mettant en avant l’intérêt qu’elle porte à la problématique de l’identité. Elle interroge la figure humaine dans toute sa complexité. Entre humain et animalité s’élaborent des questions de contradictions intérieures, d’absence et de présence. Le mouvement du dedans/dehors et la notion du temps sont constamment présents. Ses œuvres montrent les passages successifs de l’individuel à l’universel. Cette thématique est, d’ailleurs, alimentée en référence à Arthur Rimbaud : « Je est un autre ». Soi et autrui, identité et différence : l’altérité reste au centre de ses préoccupations. Devant ses œuvres, le spectateur est à la fois attiré et intrigué, comme devant une force, une apparente douceur, une étrangeté. Le paradoxe, ici, transfigure. « La magie qu’elle possède est d’emmener, dans son propre espace imaginaire et créatif, tous ces éléments comme des énergies positives tout en gardant un regard, une réflexion et une intériorité très personnelle. Du coup, les figures, dans son travail, sont à la fois miroir d’elle-même et polymorphe de nous tous. Pour Dominique Albertelli, l’art se fait philosophie » (Chen zen).
Durand Brigitte 71 ans
Je pratique la peinture depuis plus de 10 ans et ai commencé avec Stathis Faraclas,
la sculpture insolite depuis 5ans à philotechnique Paris
la photo en club depuis plus de 12 ans et fais les concours
régulièrement,
Lefèvre Brigitte72 ans
Pas de fibres artistiques du tout par mon éducation mais j’ai découvert le plaisir à dessiner de façon précise pour les cours de sciences de la vie puis plupart lors de mes études de biologie. Je me suis amusée avec la gouache, les couleurs et les formes lors de mon post-doctorat en Israël. Puis silence durant de nombreuses années. Enfin, j’ai découvert un prof d’aquarelle pas très loin de chez moi, qui par chance enseigne l’aquarelle sèche utilisée pour reproduire avec précision plantes et animaux. L’autre intérêt de cette technique elle m’oblige à travailler sur mon impatience!
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